La raison pour laquelle on nous demande impose de porter le masque est que c’est pour notre bien, c’est bon pour la santé. Quand en plus, c’est des années de recherche en blogologie qui nous le démontrent, le doute n’est plus permis (au sens où si on doute, on va en zonzon direct).
Mythe
Pour les activistes-bloggers, la muselière, c’est à la fois cool et socialement responsable.
Le port du masque en communauté est une mesure essentielle pour arrêter la propagation du COVID-19, et la communauté scientifique le confirme
Dana Khalil, docteur en blogologie
C’est grâce à ce genre d’affirmations pleines de bon sens que la science-à-gogos avance. En plus, il faut le dire, les graphiques sont super catchy, avec plein de designs de muselières qui donnent bien envie de se mettre une boîte de Pétri sur le nez.
Réalité
Le Dr Christina Parks nous avertit des dangers du port d’une muselière, prouvant par là même qu’elle n’y connaît rien :
Porter un masque est un cauchemar biochimique. C’est un cauchemar métabolique. Il augmente le risque de cancer. Il augmente le risque de maladies cardiovasculaires.
C’est en fait un processus extrêmement inflammatoire. Il aggrave toute maladie, y compris le diabète et l’hypertension.
Provoquant de l’hypertension parce que votre corps essaie de respirer plus fort pour maintenir l’homéostasie, mais il n’y arrive pas parce qu’il reçoit toujours trop de CO2 et trop peu d’oxygène.
Ainsi, vous demandez à quelqu’un de mettre sa santé en danger (lorsque vous exigez l’utilisation d’un masque).
Dr Christiana Parks, charlatan
Certaines personnes peuvent le tolérer médicalement, mais beaucoup ne le peuvent pas.
Un autre témoignage plus complet (en anglais).
La muselière, c’est bien. Vous pouvez même choisir votre couleur. Et encore, on ne parle que des dommages bienfaits pour la santé physique, pas pour la santé mentale ou sociale. Donc zyva, portons le masque en extérieur, deux fois même.