Fakebouque ne se contente pas de vous espionner et de vous enregistrer à votre insu. Ils veulent pouvoir le faire sans qu’on les embête avec des petites lois de protections des données mesquines comme tout, en plus.
Mythe
Faquebouc, société philanthropique bien connue dans le monde du renforcement démocratique, doit se défendre contre les tentaculaires et vicieuses attaques de tout un tas de petits nuisibles européens (souvent blancs, donc racistes, il est bon de le rappeler).
Dans une tentative désespérée pour faire entendre raison à ces ignorants — que personne ne saurait assimiler à un quid-pro-quo ou une menace (tactiques familiaires chez les Méchants) — Faquebouc (entretemps renommé Mes Tas pour une raison qui échappe à tout le monde) a fait savoir que « puisque c’est comme ça, on se casse ».
Si les européens veulent un réseau social, ils n’ont qu’à inventer le leur. Na !
Réalité
Heureusement, l’Europe a de sacrées pointures pour défendre ses citoyens. Faudrait voir à pas chercher à jouer au plus malin avec Thierry Breton, parce que vous êtes sûr de gagner. Je me comprends. Bref, grâce à une combinaison fiscale innovante combinant la taille, la gabelle et la TVA, les GAFAM n’ont qu’à bien se tenir.
Donc en résumé, si vous êtes inquiet que Fakebouc vous écoute via votre téléphone portable, ce qui n’est pas bien si en plus ils envoient tout ça direct aux espions américains, soyez sans crainte : bientôt ils n’auront plus le droit de le faire gratuitement.
On peut remercier Thierry, il fallait bien un Breton pour être aussi têtu.
De son coté, Dieu se pose la question du nuage où il a le droit de stocker les prières que le monde lui envoie. Et surtout, de la TVA applicable pour un croyant français priant depuis un avion américain faisant un trajet Australie-Chine…
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